Pendant les vacances, la braderie continue
La Direction et deux OS (la CGC et la CFTC, pour ne pas les citer) viennent de signer l’accord sur la forfaitisation du temps de travail des cadres. (Pas sûr que tous les cadres soient gagnants).
Cet accord d’entreprise ‘catégoriel’ n’avait besoin d’après la Direction, que de la signature de la CGC pour être validé du fait que ce sont uniquement les cadres qui sont concernés par sa mise en œuvre. Ca défini l’ambiance (et le cadre) !! Dont acte.
Mais là où le bât (bas) blesse, c’est que cet accord modifie pernicieusement deux autres accords d’entreprise : l’accord 35H et RTT et celui sur l’horaire variable, ces accords signés soit unanimement, soit par une large majorité des organisations syndicales s’en trouvent ainsi modifiés dans leur application.
Par cette technique ‘contestable’ (et contestée) la Direction et ses alliés de circonstance à travers la signature de cet accord catégoriel modifient 2 accords ultra majoritaires.
C’est une remise en cause des accords d’entreprise aux APRR, leur réécriture totale ou partielle les modifie, c’est la technique du ‘détricotage’ un coup de couteau dans le contractuel, et une entorse au code de déontologie.
Ce genre de comportement va influencer notablement les relations entre la CGT et la Direction et entraînera de fait un climat de défiance pour les négociations en cours : (péage) ou à venir (viab/sécu) etc.
La CGT, avec d’autres OS, va porter ce ‘litige’ devant la justice pour tenter de faire invalider l’accord sur la forfaitisation des cadres (et de fait, la réécriture des accords existants) et faire respecter sa signature et le droit aux APRR.
Cet accord d’entreprise ‘catégoriel’ n’avait besoin d’après la Direction, que de la signature de la CGC pour être validé du fait que ce sont uniquement les cadres qui sont concernés par sa mise en œuvre. Ca défini l’ambiance (et le cadre) !! Dont acte.
Mais là où le bât (bas) blesse, c’est que cet accord modifie pernicieusement deux autres accords d’entreprise : l’accord 35H et RTT et celui sur l’horaire variable, ces accords signés soit unanimement, soit par une large majorité des organisations syndicales s’en trouvent ainsi modifiés dans leur application.
Par cette technique ‘contestable’ (et contestée) la Direction et ses alliés de circonstance à travers la signature de cet accord catégoriel modifient 2 accords ultra majoritaires.
Sur la forme : étonnant ; Sur le fond : dangereux.
POUR LA CGT, CETTE METHODE EN + D’ ETRE HYPHOCRYTE EST ILLEGALE
C’est une remise en cause des accords d’entreprise aux APRR, leur réécriture totale ou partielle les modifie, c’est la technique du ‘détricotage’ un coup de couteau dans le contractuel, et une entorse au code de déontologie.
Ce genre de comportement va influencer notablement les relations entre la CGT et la Direction et entraînera de fait un climat de défiance pour les négociations en cours : (péage) ou à venir (viab/sécu) etc.
La CGT, avec d’autres OS, va porter ce ‘litige’ devant la justice pour tenter de faire invalider l’accord sur la forfaitisation des cadres (et de fait, la réécriture des accords existants) et faire respecter sa signature et le droit aux APRR.
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