MOBILISONS NOUS LE 21 SEPTEMBRE 2017
Après la loi EL KHOMRY, votée à coup de 49.3 par le précèdent gouvernement, loi soutenue par
un certain Emmanuel MACRON alors ministre des finances, l’actuel gouvernement souhaite
“réformer“ la législation sociale à coups d’ordonnances sous l’impulsion du Président de la
république, MACRON Emmanuel.
Cette attaque contre le code du travail et les droits sociaux est pire que la précédente. Elle
apporte plus de flexibilité et remet en cause les contreparties au lien de subordination.
Voici quelques florilèges de ce qui est prévu :
Les prud'hommes
Même dans le cas d’un licenciement sans cause réelle et sérieuse, le salarié ne sera jamais indemnisé à hauteur du préjudice. Le texte prévoit un “droit à l’erreur“ pour l’employeur, qui ne pourra plus être contesté par le salarié dans le cas d’un licenciement. Les délais de recours passent de 2 ans à 1 an.
Même dans le cas d’un licenciement sans cause réelle et sérieuse, le salarié ne sera jamais indemnisé à hauteur du préjudice. Le texte prévoit un “droit à l’erreur“ pour l’employeur, qui ne pourra plus être contesté par le salarié dans le cas d’un licenciement. Les délais de recours passent de 2 ans à 1 an.
Des plans de départs volontaires favorisés
Le texte favorise les départs volontaires sans reclassement, ainsi que les ruptures conventionnelles collectives et ne prévoit aucune contrepartie minimale.
Le texte favorise les départs volontaires sans reclassement, ainsi que les ruptures conventionnelles collectives et ne prévoit aucune contrepartie minimale.
Un nouveau périmètre pour le licenciement économique
Pour l’instant, le périmètre pour un groupe est à l’échelle mondiale. Demain, il sera au niveau national, voire par entité du groupe. Ce point était attendu avec impatience par le MEDEF, on se demande bien pourquoi...
Pour l’instant, le périmètre pour un groupe est à l’échelle mondiale. Demain, il sera au niveau national, voire par entité du groupe. Ce point était attendu avec impatience par le MEDEF, on se demande bien pourquoi...
Le “CDI“ de chantier étendu
Avec la politique de décrue des effectifs sur APRR, toutes filières confondues, ce type de contrat pourrait se généraliser et défavoriser l’embauche en CDI classique.
Avec la politique de décrue des effectifs sur APRR, toutes filières confondues, ce type de contrat pourrait se généraliser et défavoriser l’embauche en CDI classique.
L’accord d'entreprise renforcé et plus fort que le contrat de travail
Des thèmes qui ont leurs importances sortiraient du domaine de la branche professionnelle et seraient du ressort de l’accord d’entreprise. Avec la perte de ce référentiel, c’est la possibilité pour l’employeur de déroger aux acquis actuels.
Un accord d’entreprise peut modifier le contenu du contrat de travail d’un salarié sur des points importants comme la rémunération, les avantages acquis, le lieu de travail, la qualification, etc. Cet accord fait office d’avenant au contrat de travail, et en cas de refus par le salarié, cela se soldera par un licenciement.
Des thèmes qui ont leurs importances sortiraient du domaine de la branche professionnelle et seraient du ressort de l’accord d’entreprise. Avec la perte de ce référentiel, c’est la possibilité pour l’employeur de déroger aux acquis actuels.
Un accord d’entreprise peut modifier le contenu du contrat de travail d’un salarié sur des points importants comme la rémunération, les avantages acquis, le lieu de travail, la qualification, etc. Cet accord fait office d’avenant au contrat de travail, et en cas de refus par le salarié, cela se soldera par un licenciement.
Les instances fusionnées en comité social et économique
Le texte prévoit de regrouper toutes les instances en une seule, avec moins d’élus et de moyens. Cette nouvelle organisation ne pourra pas traiter de manière efficace le social, l’économique et les conditions de travail. Autant dire que pour certaines entreprises, c’est signer l’arrêt de mort des instances, au détriment des salariés.
Le texte prévoit de regrouper toutes les instances en une seule, avec moins d’élus et de moyens. Cette nouvelle organisation ne pourra pas traiter de manière efficace le social, l’économique et les conditions de travail. Autant dire que pour certaines entreprises, c’est signer l’arrêt de mort des instances, au détriment des salariés.
Emmanuel MACRON met en application le programme du MEDEF, qui remet en cause les
droits essentiels des salariés. C’est une vision rétrograde de la société francaise et une
politique libérale et antisociale au profit des financiers, qui s’ajoutent au projet de baisse
des APL, l’augmentation de la CSG pour les actifs et les retraités, le basculement des
cotisations sociales vers l’impot, etc.
PARCE QUE NOUS REFUSONS D’ÊTRE TAXÉS DE FAINÉANTS, DE CYNIQUES,
D’EXTRÉMISTES ET DEVENIR DES GENS QUI N’ONT RIEN
POUR LA DÉFENSE DE NOS DROITS, MOBILISONS NOUS
REJOIGNONS LES CORTÈGES LE 21 SEPTEMBRE
REJOIGNONS LES CORTÈGES LE 21 SEPTEMBRE
Le mouvement court du P3 du 20 septembre au P3 du 21 septembre
1 commentaire:
AUCUN COMMENTAIRE !!!!!!!!!!!!!
AUCUN COMMENT TAIRE ????
SI SI C'EST DROLE ET CELA MARQUE SON ÉPOQUE COMME DISAIT FÉRRÉ
( C'ÉTAIT UN CHANTEUR PRESQUE UN POETE )
CECI POUR INFO
ET AVEC ARAGON est-ce ainsi que les hommes vivent fait une chanson tout à fait correcte
OUPS comme disent les d,jeuns
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